CE QU’ILS DISENT
DE LA BIBLE
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Mieux
connaître notre précieux trésor ! Sans cesse chercher à en découvrir toutes les richesses, pour
l’aimer d’avantage... et plus encore, pour vivre avec le Seigneur, qui est Lui-même la Parole vivante, une
relation personnelle forte, intime, féconde.
Voilà
notre seul objectif.
Dans
le cadre de ces modestes articles, nous examinerons divers aspects du Livre de
Dieu. Notre désir serait qu’au bout du
chemin, nous ayons engrangé une bonne et intéressante moisson de précieuses informations.
La
Bible est une œuvre gigantesque. Elle a marqué de son rayonnement la vie de l’humanité. Arts,
littérature, histoire,
philosophie, science… s’y réfèrent.
Pour
commencer notre parcours, il nous a semblé intéressant, de nous pencher sur l’opinion des grands
hommes à l’égard de la Bible ; ces grands penseurs de tous les temps, ceux qui ont laissé leur emprunte dans notre
monde. Ne serait-ce pas déjà une
invitation à nous pencher sur ce livre que Victor Hugo appelait « Le Livre ». ?
l’Académicien Robert
Kemp, parlant de la Bible dans « les Nouvelles
Littéraires » :
Il
s’agit des textes qui ont nourri la pensée universelle depuis des siècles, d’un
texte qui est la source de toutes les littératures essentielles du Moyen-âge à
l’époque classique française, en Angleterre, en Allemagne, en Espagne.
L’importance de la Bible est évidente. Je veux la Bible pour tout homme désireux
d’étendre ses connaissances, de réfléchir sur sa condition dans le cosmos et de
goûter la beauté des pensées et du Verbe.
Le philosophe Kant :
La
Bible mise à la portée de tous est le plus grand bienfait qu’ait pu connaître
l’espèce humaine. Toute atteinte contre elle est un crime contre l’humanité.
La
Bible est une source inépuisable où l’on peut trouver toutes les vérités.
Lorsqu’on a pris la mesure des bornes de notre raison, on ne saurait chercher
ailleurs ses sources.
Significatif cet aveu de Thomas Huxley qui fut un
adversaire du christianisme :
J’ai
toujours été convaincu que l’instruction publique devait être débarrassée de
toute théologie, mais je dois confesser combien perplexe je me suis trouvé en
cherchant une base de conduite morale pour l’état chaotique de notre temps,
sans l’emploi de la Bible, car il n’y a aucun autre livre où des pensées plus
sublimes, plus saines, soient rendues aussi accessibles et aussi attrayantes à
l’esprit de l’enfant.
.
Victor Hugo :
Il
n’y a qu’un livre qui contient toute la sagesse humaine, éclairée par toute la
sagesse divine, un livre que la vénération des peuples appelle Le Livre :
La Bible. Ensemencez les villages d’Evangile. Une Bible par cabane !
Jean Jaurès :
La
Bible fait bondir les têtes et les cœurs des hommes, tressaillir les collines.
C’est le livre des sursauts, des images grandioses et tragiques, des grandes
revendications sociales, des prophéties annonçant l’égalité fraternelle des hommes, amenant la
disparition de la guerre entre les peuples, l’apaisement des nations irritées
et de la nature elle-même, la réconciliation du lion et de l’agneau, paissant
au même pâturage, le désarmement des loups apaisés.
Jean Jacques Rousseau
La
majesté des Ecritures m’étonne, sa sainteté parle à mon cœur. Voyez les livres
des philosophes avec toute leur pompe. Qu’ils sont petits près de celui-là !
Wolfrang Goethe :
Rien
ne remplacera jamais la Bible, base de toute culture, de toute éducation. Plus
la civilisation avancera, plus la Bible sera en premier.
Il disait encore : C’est
ma foi dans la Bible qui m’a servi de guide dans ma vie morale et littéraire… plus la civilisation avancera et
plus la Bible sera employée.
Abraham Lincoln :
Sans
la Bible, nous ne pourrions savoir ce qui est juste et ce qui ne l’est pas.
Toutes les choses les plus désirables pour le bonheur des hommes y sont
dépeintes.
Charles Dickens (à son fils) :
Je
place un Nouveau Testament dans vos livres parce qu’il n’y en aura jamais un
d’aussi bon que celui là. Vous y trouverez les meilleures leçons pour être
fidèle à la vérité et au devoir
Léon Tolstoï :
Je
ne me représente pas comment serait
possible l’éducation des enfants si le livre des livres n’existait pas !
Henri Heine, poète sceptique, fut pendant des années un panthéiste, un
écrivain léger et douteur. Il se trouva une période de sa vie, isolé dans l’Île
d’Héligoland. n’ayant rien à faire il
s’ennuyait beaucoup : Au plus fort
de mon ennui, je trouvais une Bible et je me mis à lire en désespoir de cause,
mais bientôt je fus intéressé et grandement édifié. Quel Livre que celui-là.
Vaste, infini comme le monde, enraciné dans les abîmes de la Création et
s’élevant par delà les profondeurs du ciel !
Chateaubriand :
Il
n’y a pas une position dans la vie pour laquelle on ne puisse rencontrer un
verset qui semble dicté tout exprès
Lacordaire :
Voilà
trente ans que je lis ce livre et j’y trouve chaque jour de nouvelles clartés,
de nouvelles profondeurs
Pascal :
Que
l’on considère les merveilles de l’Ecriture Sainte qui sont infinies, la
grandeur et la sublimité plus qu’humaine des choses qu’elle contient, et la
simplicité admirable de son style qui porte un caractère de vérité qu’on ne
saurait désavouer. L’Ecriture Sainte n’est pas une science de l’esprit mais du
cœur ; Elle n’est intelligible que pour ceux qui ont le cœur droit.
Théodore Roosevelt :
Si
nous lisons la Bible comme elle doit être lue, elle nous enseignera à aller de
l’avant. La Bible nous enseigne, non à escamoter les difficultés, mais à les
surmonter. Notre civilisation n’a pas de fondement plus solide que la Bible.
Charles Renouvier (philosophe français)
Si
je me trouvais en présence d’un homme qui n’eut le temps de ne lire qu’un
livre, c’est la Bible que je lui présenterais
Paul Tournier, médecin Genevois bien connu :
Du
sens des choses, du sens de la maladie et de la guérison, de la vie, de la
mort, du monde, de l’homme et de l’histoire, la science ne nous dit rien. C’est
la Bible qui nous en parle.
C’est
pourquoi l’étude de la Bible est aussi précieuse au médecin que celle de la
science. Par sa science, le médecin apprend le mécanisme des choses et par la Bible,
leur sens…
Plus
on étudie la Bible, plus on y découvre une unité profonde.
Il serait facile de multiplier ces témoignages :
Georges V, Newton, B. Franklin, le Maréchal Foch, Garibaldi, Dostoïevski, etc.
pour le passé… et avec les témoins célèbres d’aujourd’hui, on pourrait écrire
un gros livre !
Je ne résiste pas, pour conclure, au plaisir d’ajouter
encore ces quelques mots de Félix Dupanloup : Au simple point de vue littéraire, il est reconnue
sans nul conteste par tous les hommes de goût, que nulle littérature n’est
comparable à la littérature biblique ; nulle n’est plus variée ni plus
riche, plus colorée, plus éclatante, plus hardie. Il serait superflu d’insister
sur un oint universellement admis.
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